Parce que je joue au lego
... j'ai un verre de vin qui m'attend toujours
... mon téléphone sonne souvent
... j'ai dormi sur un plancher plutôt étrange
... je peux me permettre de rentrer à 3h et pouvoir dormir au chaud avec celui que j'aime
... mon oeil de crapaud s'en va tranquillement
... malgré tout, j'aime ma famille
... Chanelle est belle
... la neige est toute fraîche dehors
... je viens de manger un ferrero rocher
... j'aime et c'est réciproque
Je suis comblée
lundi 31 décembre 2007
mercredi 19 décembre 2007
Si un jour je suis enceinte.
Salut toi,
J'ai pas bien le choix de te parler hein, t'es là, t'es omniprésent, partout où je vais, t'es en moi.
Pis je ne t'aime pas.
Oh oui, toi, tu dois être bien au chaud, tout relax, comme quand j'me couche en petite boule dans son lit. Mais j'te souhaite le séjour le plus désagréable que tu ne peux pas avoir.
J'te souhaite d'avoir froid et de te râper le corps contre mes parois rugueuses.
Parce que t'as pas d'affaire là.
J'ai rien contre toi personnellement, j'm'en fous de toi. C'est juste que là, t'es dans ma bulle. T'es dans mon espace, pis tu me fais chier.
Tu bouffe ma bouffe, tu prends mon énergie, tu te nourris à même mon sang cris de vampire.
Tu me rends malade, tu me fais mal, pis tu profites, parasite.
Pis moi, ton hôte, j'aurais pas un mot à dire?
Regarde moi bin me scraper la santé, te rendre légume, te noircir les poumons à coup de clous de girofle.
Parce que t'as pas d'affaire là.
J't'aurais laissé vivre ailleurs, mais là...
J'ai pas d'autre choix, ordure.
Va falloir te jeter aux vidanges.
Parce que t'as pas d'affaire là.
J'ai pas bien le choix de te parler hein, t'es là, t'es omniprésent, partout où je vais, t'es en moi.
Pis je ne t'aime pas.
Oh oui, toi, tu dois être bien au chaud, tout relax, comme quand j'me couche en petite boule dans son lit. Mais j'te souhaite le séjour le plus désagréable que tu ne peux pas avoir.
J'te souhaite d'avoir froid et de te râper le corps contre mes parois rugueuses.
Parce que t'as pas d'affaire là.
J'ai rien contre toi personnellement, j'm'en fous de toi. C'est juste que là, t'es dans ma bulle. T'es dans mon espace, pis tu me fais chier.
Tu bouffe ma bouffe, tu prends mon énergie, tu te nourris à même mon sang cris de vampire.
Tu me rends malade, tu me fais mal, pis tu profites, parasite.
Pis moi, ton hôte, j'aurais pas un mot à dire?
Regarde moi bin me scraper la santé, te rendre légume, te noircir les poumons à coup de clous de girofle.
Parce que t'as pas d'affaire là.
J't'aurais laissé vivre ailleurs, mais là...
J'ai pas d'autre choix, ordure.
Va falloir te jeter aux vidanges.
Parce que t'as pas d'affaire là.
dimanche 16 décembre 2007
jeudi 13 décembre 2007
J'suis luckeuse
bouffée, vide, tu me joue des tours
Quand j'ai rien à crissé des orbitales hybrides
Ma mémoire va même jusqu'à oublier
Tout ce qui ne concerne pas ta personne
Grosse flaque poisseuse
J'me noie dans mon insomnie
Du thé plein les yeux
Je pleure des larmes d'ennui
Entachée, hallucine
Entend le téléphone du salon
Boule d'amour dans mon cou
Bloque mon oesophage de toute digestion
J'avale ma solitude
J'ai froid
Pis la lumière est bien trop forte
Trop forte pour mes yeux verts qui fittent avec ma face jaune
Ce que je ne donnerais pas pour crisser ça là
Et dormir au chaud
Et défaire tes draps
Et m'cogner la tête sur le mur
J'veux mourir avec toi
Mais avant, j'veux vivre
éveillée, enchantée
Croquer la pomme, lècher mes doigts
Et enfin, m'extasier devant le bonheur
T'entendre me dire: "Je t'aime"
Pis en shaker
Pis être béate
Béate pis béante
Quand j'ai rien à crissé des orbitales hybrides
Ma mémoire va même jusqu'à oublier
Tout ce qui ne concerne pas ta personne
Grosse flaque poisseuse
J'me noie dans mon insomnie
Du thé plein les yeux
Je pleure des larmes d'ennui
Entachée, hallucine
Entend le téléphone du salon
Boule d'amour dans mon cou
Bloque mon oesophage de toute digestion
J'avale ma solitude
J'ai froid
Pis la lumière est bien trop forte
Trop forte pour mes yeux verts qui fittent avec ma face jaune
Ce que je ne donnerais pas pour crisser ça là
Et dormir au chaud
Et défaire tes draps
Et m'cogner la tête sur le mur
J'veux mourir avec toi
Mais avant, j'veux vivre
éveillée, enchantée
Croquer la pomme, lècher mes doigts
Et enfin, m'extasier devant le bonheur
T'entendre me dire: "Je t'aime"
Pis en shaker
Pis être béate
Béate pis béante
mardi 11 décembre 2007
Un autre poème côhon
Gargouillent les protéines
Qui lèchent les parois en moi
Tes râles signifient, je crois
Un excédent d’albumine
Le halo du crépuscule
Vient miroiter sur tes cheveux
Huileux depuis un jour ou deux
Nous couvrent les corpuscules
S’élèvera la stridence
Cordes vocales trop tendues
Chantent en mon corps étendu
De ton coup, l’outrecuidance
Ciel, veut toucher ma jambe
Quand la physique se pointe
2 h, heure tant crainte
Tiens ma croupe, ingambe
Et il pleut jusqu’à ma gorge
J’entends ce rire qu’est le mien
Couvert d’un foulard rétinien
Mon regard croise ta verge
De mouchoirs je veux me vêtir
D’édredons je veux me couvrir
Laisse-nous encore dormir
De toi je n'veux me départir
Qui lèchent les parois en moi
Tes râles signifient, je crois
Un excédent d’albumine
Le halo du crépuscule
Vient miroiter sur tes cheveux
Huileux depuis un jour ou deux
Nous couvrent les corpuscules
S’élèvera la stridence
Cordes vocales trop tendues
Chantent en mon corps étendu
De ton coup, l’outrecuidance
Ciel, veut toucher ma jambe
Quand la physique se pointe
2 h, heure tant crainte
Tiens ma croupe, ingambe
Et il pleut jusqu’à ma gorge
J’entends ce rire qu’est le mien
Couvert d’un foulard rétinien
Mon regard croise ta verge
De mouchoirs je veux me vêtir
D’édredons je veux me couvrir
Laisse-nous encore dormir
De toi je n'veux me départir
dimanche 9 décembre 2007
Test sur Katerine
Hypochondrie infantile
je m'assoie dans les lueurs
Flaque d'urine surgelée
Hante, hante toute la ville
Drapée dans mon matelas blanc
J'immole les femmes laides
Boule de neige et gant de satin
Traîne ta main jusqu'à mes flancs
Gomme, gomme, gomme de pin
Colle l'amour à coup de gouache
Bourre la fraise de garnache
Et décore ton sapin
Bientôt Noël, demain
Junkie couché dans la rue
Cache toi à l'aide d'une tuque
À ponpon, entre tes mains
Couvre, couvre ta fortune
Laisse les arbres dormir
Laisses les ronfler sans chigner
Laisse les deux fois plutôt qu'une
Gratte ton cuir de fer
Gratte la crasse du monde
Pourrie dans la fureur
Laisse se putréfier ton coeur
Ma main recouverte de jus
Passé date, c'est meilleur
Quand ça va tourner
Tu ne me verras jamais plus
L'autre abdomen est mort tantôt
À coup d'pied dans l'front
Je l'ai laissé choir
À côté du lavabo
Pauvre 'tite face
je m'assoie dans les lueurs
Flaque d'urine surgelée
Hante, hante toute la ville
Drapée dans mon matelas blanc
J'immole les femmes laides
Boule de neige et gant de satin
Traîne ta main jusqu'à mes flancs
Gomme, gomme, gomme de pin
Colle l'amour à coup de gouache
Bourre la fraise de garnache
Et décore ton sapin
Bientôt Noël, demain
Junkie couché dans la rue
Cache toi à l'aide d'une tuque
À ponpon, entre tes mains
Couvre, couvre ta fortune
Laisse les arbres dormir
Laisses les ronfler sans chigner
Laisse les deux fois plutôt qu'une
Gratte ton cuir de fer
Gratte la crasse du monde
Pourrie dans la fureur
Laisse se putréfier ton coeur
Ma main recouverte de jus
Passé date, c'est meilleur
Quand ça va tourner
Tu ne me verras jamais plus
L'autre abdomen est mort tantôt
À coup d'pied dans l'front
Je l'ai laissé choir
À côté du lavabo
Pauvre 'tite face
lundi 3 décembre 2007
Je me noie dans ton bain
d'eau lactée
Gorgée d'un peu plus
de noirceur
J'éventre au passage mon acné
vectorielle
et j'assassine d'un coup de hanche
tous les oiseaux du monde
Toute nue dans une allée
Grande comme ta main
L'archevêque envoie promener
ma mère
Je t'en prie, ne fais pas claquer
tes dents entartrées
Coup de poing
Le temps cliquette par terre
Nos années sont répandues
gisant dans un lot de
calcaire
Mon pôle
Aimerais-tu
Pitonner sur mes
rides?
Oh oui, je le sais
ça n'en fini plus de caraméliser
Ajoutes de l'eau
à l'hématophile
Tourniquet, spirale, duelliste
hélice qu'est ton code
le mien pousse sur ma tête
C'est en effet ma chevelure
Tapis dans les grottes que sont
mes pores
Toi, porc
Fais tourner
Mes amygdales hivernales
d'eau lactée
Gorgée d'un peu plus
de noirceur
J'éventre au passage mon acné
vectorielle
et j'assassine d'un coup de hanche
tous les oiseaux du monde
Toute nue dans une allée
Grande comme ta main
L'archevêque envoie promener
ma mère
Je t'en prie, ne fais pas claquer
tes dents entartrées
Coup de poing
Le temps cliquette par terre
Nos années sont répandues
gisant dans un lot de
calcaire
Mon pôle
Aimerais-tu
Pitonner sur mes
rides?
Oh oui, je le sais
ça n'en fini plus de caraméliser
Ajoutes de l'eau
à l'hématophile
Tourniquet, spirale, duelliste
hélice qu'est ton code
le mien pousse sur ma tête
C'est en effet ma chevelure
Tapis dans les grottes que sont
mes pores
Toi, porc
Fais tourner
Mes amygdales hivernales
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